« Par rapport à la couverture en eau de la zone de santé de Biena, cette couverture est encore faible. Elle est de 38 % pour une population estimée à 165 864 habitants. Et donc, une grande partie de la population n’est pas couverte en eau potable, et cela a comme conséquence la survenue des maladies hydriques, surtout la diarrhée et la fièvre typhoïde », a indiqué le médecin chef de zone, Valentin Kamuha Kisambi.
Selon lui, il y a des adductions d’eau, des sources aménagées dans certaines agglomérations comme Njiapanda, Byambwe, Kiraho, Musenge et Masoya. Mais une autre partie de la population se dirige vers des sources d’eau qui proviennent des vallées, dont la plupart ne sont pas aménagées. Et cela est un risque pour la population, dit-il.
Sur ce, il appelle à des efforts pour améliorer l'accès à l'eau potable dans la région.
Gisèle Mbuyi
(GM/DNK/Yes)
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