Revue de presse de ce lundi 18 septembre 2024

IMG
L’actualité dans la presse congolaise est dominée par l’ouverture du 10ème Congrès de la presse au Centre catholique Nganda à Kinshasa le mardi 17 septembre.

L’Agence congolaise de presse (ACP) rapporte que les attentes d’une réponse aux questions de la salubrité de l’environnement médiatique en République démocratique du Congo ont été évoquées par le ministre de la Communication et médias, à l’ouverture mardi à Kinshasa, du 10ème Congrès de la presse.

« C’est aussi sur vous, aujourd’hui, sur vos épaules que retombe la responsabilité de donner des réponses aux autres questions pendantes et vitales qui vont nous permettre de réaliser "la salubrité médiatique" conformément à l’engagement que nous avions pris face au Président de la République à l’occasion de la tenue des Etats généraux de la Communication et Médias », a déclaré Patrick Muyaya, ministre de la Communication et médias.

Le porte-parole du Gouvernement a rappelé l’appel du  Président Félix Antoine Tshisekedi aux journalistes, dans son allocution à l’ouverture des Etats généraux de la Communication et médias, de renforcer les organes de régulation et d’autorégulation des médias.

Dans le même registre, AfricaNews rapporte qu’une presse congolaise responsable et respectueuse des normes éthiques et déontologie professionnelle, c’est possible. Une presse extirpée des moutons noirs et engagée à la défense de la démocratie et des valeurs républicaines dans le respect de la dignité humaine, c’est encore possible. Dans cette perspective, le ministre de la Communication et médias, Patrick Muyaya,  a ouvert le Xème Congrès de l’Union nationale de la presse congolaise (UNPC), mardi 17 septembre au Centre catholique Nganda à Kinshasa. Non seulement différents textes seront adoptés à l’issue de ces assises, mais également élire les nouveaux dirigeants pour les cinq ans à venir.

Sous le titre : «  L’UE invite Kinshasa à rétablir le moratoire », Forum des as rapporte que la condamnation à mort des 37 personnes liées à la tentative de coup d’Etat a suscité des réactions immédiates de la communauté internationale, notamment de l’Union Européenne (UE). Dans un communiqué publié, le 15 septembre dernier, cette institution a exprimé « sa totale opposition à cette sentence, quelle que soit la situation ».

L’UE dénonce cette peine comme étant incompatible avec le droit inaliénable à la vie, la qualifiant de « cruelle, inhumaine et dégradante ».

« Agression rwandaise : les Congolais de plus en plus sceptiques quant à l’option diplomatique », constate Le Phare. En effet, plus le temps passe, les Congolais découvrent ce qui était hier dans les secrets de dieux.

Les Congolais sont conscients que le Rwanda n’est pas le véritable agresseur, car il n’y a ni les moyens financiers ni humains pour se livrer à cette aventure qui a trop duré. Mais face à l’évidence, il n’y a pas autre alternative qu’actionner l’option armée que le Président de la république voulait comme l’ultime recours.

Congo Nouveau note que « Les Congolais vont juger Suminwa par ses actions ». Dans la tradition du pouvoir, l’action de l’exécutif est jugée à partir de 100 jours passés à la tête du pays de l’exécutif national. Les Congolais attendent que le chef de l’exécutif présente son bilan selon les axes prioritaires déclinés devant la représentation nationale pour obtenir l’investiture.

Ilenda wa Ilenda


18-septembre-2024

COMMENTAIRE(S)

Laisser un commentaire