A en croire la société civile, ce patrimoine mondial connaît un déboisement accéléré suite à l'abattage des arbres pour la vente de de braise et des planches.
« Le trafic des planches et des braises s'intensifie à Kasheke à destination de Goma, Nindja, Miti, à destination de Bukavu avec un danger pour la biodiversité et les perturbations climatiques présentes et futures. Perdre le PNKB serait suicidaire pour la province du Sud-Kivu », a fait savoir la société civile de cette province.
Par ailleurs, cette force vive appelle l'Etat congolais à travers ses services spécialisés à protéger ce parc national qui joue un grand rôle dans l'équilibre climatique.
Cathy Ibandula
(CI/DNK/Yes)
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