Le Président Félix Tshisekedi a quitté Kinshasa, dimanche, dans l’après-midi à destination de New-York aux USA, où il prend part à la 78ème session de l’Assemblée générale de l’ONU, rapporte l’Agence congolaise de presse (ACP).
Selon le ministre de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya, le Président prendra la parole entre mardi et mercredi.
A l’ONU, que dira-t-il encore en ce moment précis de l’histoire de son pays, s’interroge le journal La Prospérité. Et la consœur, de se demander si le Président congolais a pris la mesure des enjeux internationaux, en ce qui concerne, particulièrement le processus de Nairobi et de Luanda au terme duquel, il lui avait été demandé, à maintes reprises, de mettre un bémol dans sa position et de « dialoguer » avec les acteurs clés de la crise sécuritaire.
Congo Nouveau constate, à propos du budget 2024, que Sama Lukonde a encore respecté le délai constitutionnel. Le confrère note que depuis son avènement à la tête du gouvernement, le Premier ministre Sama Lukonde a instauré et pérennisé la culture d’excellence consistant à respecter les prescrits de l’article 126 de la Constitution de la RDC, qui consacre le dépôt du projet de la Loi des Finances, au plus tard le 15 septembre.
« Kalonda à la barre sans ses avocats belges », titre AfricaNews dans un article consacré au procès qui reprend ce lundi devant la haute cour militaire. « Nos confrères avaient régulièrement introduit leur demande de visa. On leur a refusé le visa. C’est un non-sens absolu », a vociféré Me Hervé Diakesse du collectif d’avocat de Salomon Kalonda.
Sous le titre : « Rentrée parlementaire de septembre 2023 : session des adieux et enjeux », Le Phare fait remarquer que la session de septembre 2023 coïncide avec la période électorale. Et, en règle générale, les hommes politiques ont tendance à promettre de gros budgets.
Cependant, le risque est de voir, en 2024, les promesses électorales faites en 2023 ressembler à de la démagogie pour tout le prochain quinquennat. Alors, les « au revoir » entre collègues de la législature 2019-2023 risquent de se transformer en « adieux » entre les parlementaires et leurs électeurs.
Ilenda wa Ilenda
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