Le programme élargi de vaccination (PEV) en collaboration avec l’Unicef, a organisé lundi 9 juin, au centre Thérésianum dans la commune de Kintambo, à Kinshasa, un atelier d’élaboration du plan de communication sur la stratégie nationale de vaccination.
Les expertes de la vaccination, des techniciens et communicologues du secteur de la santé se sont réunis ce lundi 9 juin au centre Thérésianum dans la commune de Kintambo, pour réfléchir sur la problématique de la vaccination au niveau nationale, pour une amélioration de la couverture vaccinale dans des aires de santé, zones de santé en provinces ainsi qu’au niveau national.
David Olala, point focal communication au Programme élargi de vaccination (PEV), a souligné que cet atelier vise à répondre à aux différentes préoccupations en vue d’accompagner la stratégie de communication d’analyser la situation stratégique de vaccinations, améliorer la communication palper les réalités avec les différentes parties œuvrant dans le secteur de la santé dans des provinces, ensemble relever les défis au niveau de provinces, identifier le problème d’étranglement, trouver des solutions en rapport aux différentes réponses.
David Olala a en outre souligné que dans le contexte actuel de la génération de la demande hormis les résultats enregistrés, sur l’enquête de la couverture vaccinale, les résultats démontrent que plusieurs points ont été perdus notamment vingt points certains coins et quarante points dans des provinces.
La matière du genre d’équité dans la vaccination a été relevée au cours de cet atelier. Il y a la zone de non vaccination qui prend des proportions énormes. C’est dans ce cadre que nous avons intégré l’approche genre dans la vaccination pour répondre à cette question et atteindre les objectifs d’améliorer au niveau des aires de santé, zones de santé, dans des provinces et au niveau national.
Par ailleurs, les experts de la vaccination, des techniciens et communicologues du secteur de la santé de différentes provinces ont pris part à cet atelier et avoir une feuille de route de répondre aux différentes préoccupations pour atteindre les différents objectifs. Il s’agit notamment des provinces de la Mongala, de la Tshopo, du Tanganyika. Ils ont ensemble réfléchi afin d’avoir une vision globale sur base des enquêtes qui ont été faites.
Dans l’enquête de couverture, a expliqué David Olala, nous avons perdu plusieurs points. Cette même enquête nous montré qu’en ce qui concerne les antigènes d’entrée, « le Pina 1 », nous sommes dans la zone dans plus grande partie du pays nous sommes au-delà de 80 %.
Ce qui, selon lui, montre qu’il y a cette volonté avec les parents qui prouve que la sensibilisation s’est bien passée qui a motivée les parents ce qui reste c’est le maintien des parents et garder l’enfant dans le système, car la deuxième et la troisième. C’est là où il y a des problèmes où nous avons perdu dans certains coins 20 et 40 points et dans les provinces.
Safi Meta
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