Confusion autour du concert « Solidarité Congo » : la mairie de Paris saisit la police, l’Unicef se désolidarise de l’événement, les organisateurs signent et persistent
Les organisateurs du concert « Solidarité Congo » prévue le 7 avril persistent et signent, au moment où la mairie de Paris saisit la police pour solliciter son interdiction et où l’Unicef se désolidarise.
La controverse s’installe désormais au sujet du concert « Solidarité Congo » prévu le 7 avril dans la salle Accor Arena à Paris en France, avec l’annonce de la mairie de cette ville faite mardi 25 mars d’ avoir saisi le préfet de police pour faire interdire, à la demande la diaspora rwandaise, cette activité.
C’est la 2ème fois que la ville de Paris saisit la préfecture de police de Paris pour cette l’interdiction.
La ville de Paris, rappelle le communiqué, a déjà saisi la police de Paris « afin de demander, à l’instar des associations et de l’ambassadeur du Rwanda en France, l’interdiction du concert à cette date (du 7 avril), au motif des troubles à l’ordre public qu’il engendrerait ». La préfecture de police de Paris a indiqué que le dossier était « à l’étude ».
Pour leur part, les organisateurs de ce concert persistent et signent. Ils ont annoncé lundi maintenir cet événement qualifié par eux d’essentiel auquel doivent participer les rappeurs Gims, Youssoupha ou Gazo.
Boni Tsala
(BTT/PKF)
27-Mars-2025
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