Revue de presse de ce lundi 17 mars 2025

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L’actualité en RDC gravite autour du conflit dans l’Est du pays, conflit qui fera l’objet des négociations à Luanda où les parties en présence ont été invitées mardi 18 mars.

L’Agence congolaise de presse (ACP) rapporte que les États-Unis d’Amérique (USA) ont  promis, à travers un émissaire reçu dimanche par Félix Tshisekedi,  leur implication pour la restauration d’une paix définitive en République démocratique du Congo (RDC).

« Il faut que la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC soient respectées de tous. Nous allons travailler pour que tous les obstacles qui s’érigent sur le chemin de la paix soient ôtés, afin que la paix revienne en RDC », a déclaré  Ronny Jackson, envoyé spécial du Président des États-Unis Donald Trump et membre du congrès américain.

Selon l’ACP, la crise sécuritaire et humanitaire qui prévaut dans l’Est du pays, marquée par la présence des troupes rwandaises qui appuient les terroristes du M23, était le principal sujet à l’ordre du jour de cette rencontre.

« Kinshasa confirme sa présence à Luanda », annonce La Référence Plus. C’est une semaine cruciale sur le dossier du conflit dans l’Est de la RDC qui se pointe à l’horizon, constate ce journal, qui fait état de la confirmation par Kinshasa de la participation de la RDC aux négociations avec le M23, à Luanda en Angola où ils sont invités, le mardi 18 mars, par le médiateur désigné par l’Union africaine, le président angolais Joao Lourenço.

Le journal Le Monitor rapporte que la ville de Bandundu, dans la province de Kwilu, a vibré au rythme de la campagne « Congolais Telema », dimanche 16 mars. La Première ministre Judith Suminwa s’est rendue dans cette partie de la République pour mobiliser la population et réaffirmer l’engagement du Gouvernement face à l’agression rwandaise.

Sous le titre : « Snel : un recrutement axé sur les talents pour une gouvernance innovante », Forum des as rapporte que depuis novembre 2024, la Société nationale d’électricité (Snel), première entreprise du portefeuille de l’Etat, par son chiffre d’affaires s’élevant à plus d’un milliard dollars, a pris la courageuse initiative de changer sa gouvernance.

Engluée dans une instabilité managériale marquée par la vacance prolongée de postes stratégiques et l’intérim : 11 postes de direction sur 13 occupés par des intérimaires et deux postes vacants. Aussi a-t-elle mené un processus de recrutement inédit pour stabiliser sa gestion.

Une sélection, estime le confrère, fondée sur la méritocratie, la transparence et les standards internationaux.

Ilenda wa Ilenda


(TN/Yes)


17-Mars-2025

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