Les conducteurs des véhicules poids lourds sur la route nationale N°1 ont décidé de durcir leur mouvement de grève pour plusieurs revendications malgré l’implication de la Première ministre pour éviter la crise. Ces chauffeurs ont décidé d'observer la grève jusqu'à l’obtention d’une gain de cause.
Parmi les revendications figurent notamment la levée des barrières sur la chaussée, de l’imposition des taxes et des péages trop élevés, etc.
En outre ils exigent à leurs patrons de les payer, dès la fin de ce mois (octobre) la somme de 400$, suivant l’accord entre le gouvernement, le patronat et les travailleurs.
C’est à travers une réunion tripartite que le gouvernement, le patronat, une délégation des syndicats du secteur des transports. La Première ministre Judith Suminwa, a tenu cette réunion, pour décanter la situation.
Elle avait donné des orientations aux différents ministres pour trouver des solutions à leurs revendications. Elle a demandé qu’on lui accorde une semaine le temps pour elle de trouver des solutions, chose qui n’a pas marché.
Safi Meta
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