La porte de l'antichambre a été forcée et le système électronique de surveillance a été réinitialisé. De plus, des poussières suspectes ont été retrouvées éparpillées dans le bureau, ce qui suscite des inquiétudes quant à la nature de l'intrusion.
Les autorités ont immédiatement ouvert une enquête pour clarifier les circonstances entourant cet acte. Le ministère attribue cette effraction aux forces négatives et mafieuses qui se sentent menacées par les efforts déployés pour assainir le système judiciaire du pays.
Le ministère affirme que ces actions de sabotage ne feront que renforcer leur détermination à poursuivre la lutte contre la corruption et les pratiques illégales dans le secteur de la justice. Les enquêtes en cours visent à identifier les responsables de cette intrusion et à garantir la sécurité des lieux sensibles.
Gisèle Tshijuka
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